Un sexologue pervers

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il y a 6 ans

Bien que ce texte paraisse sous mon seul pseudonyme, je précise qu’il est le fruit du travail commun de deux auteurs : Nulaya et moi-même. Je tiens à la remercier pour sa précieuse collaboration.


Sarah marchait lentement en remontant une rue du centre de cette grande ville universitaire d’Aquitaine ; son regard s’attardait sur l’entrée des immeubles bourgeois, à la recherche du numéro qui lui avait été indiqué : « 21… 19… 17 : c’est bien là ! » D’ailleurs une plaque de cuivre rutilante annonçait « Docteur S. de Feule – Sexologue – 3ème étage ». Elle pénétra dans le hall d’un pas décidé et appuya sur le bouton d’appel de l’ascenseur.


Assis dans un confortable fauteuil de cuir derrière son bureau en attendant l’heure de son rendez-vous, le médecin se remémorait les récents événements, et tout particulièrement la communication téléphonique qu’il avait eue avec l’un de ses confrères, un gynécologue avec qui il participait à des soirées libertines dans les résidences privées de la grande bourgeoisie locale :

— Hello, Serge ! Tu as bien récupéré depuis cette soirée chez les Duchaussoy ?

— Ah, ça a été dur, surtout à mon âge… Quels dépravés, ceux-là… Presque autant que nous !

— Dis, je t’appelle parce que je voudrais t’adresser une de mes patientes.

— Mais, Xavier, tu sais bien que je prends ma retraite ! Je viens juste de signer l’acte de cession de mon cabinet et de la clientèle qui s’y rattache. Nous sommes vendredi, et dès lundi ce sera mon successeur, un jeune toubib dont c’est la première installation, qui prendra ma suite. Alors laisse-moi terminer tranquillement ma carrière.

— Tout ça, je le sais bien ; mais là, il s’agit d’un cas… exceptionnel. Tu verras, la gamine, ce cul qu’elle a ! Si tu veux finir ta carrière en beauté, ce sera l’apothéose.

— Si c’est toi qui me le dis, je veux bien le croire. Ça commence à m’intéresser… Tu peux m’en dire plus ?

— Une magnifique gamine ; tout juste 19 ans. Et ce regard… rien que ses yeux te feraient bander, vieux saligaud !

— Bon ; ton diagnostic ? Quels symptômes présente-t-elle ?

— C’est en rapport avec son cul, son magnifique cul. Figure-toi qu’elle éprouve de fortes douleurs à chaque tentative de sodomie. Autrement dit, elle ne peut pas se faire enculer, malgré son puissant désir de se faire défoncer. Si c’est pas malheureux, un cul pareil…

— Au niveau physiologique, aucune malformation ?

— Non, tout est OK de ce côté-là. Et crois-moi, j’ai vérifié… en profondeur !

— Apparemment, il s’agirait d’un blocage psychologique : c’est donc de mon ressort. Mais, même si je ne suis pas habilité à le faire, je ne vais pas me priver de pratiquer des examens cliniques : inspection, mais surtout palpation approfondie !

— Ah, je savais bien qu’elle t’intéresserait.

— Merci d’avoir pensé à moi ; tu peux me l’envoyer, mais demain, samedi, parce que lundi je ne serai plus dans ce cabinet : je ne voudrais surtout pas passer à côté d’une pareille occasion et que ce soit mon successeur qui en profite.

— Là, je te reconnais bien, vieille canaille ! Allez, ciao, et pense à me raconter comment ça s’est passé.

— Salut, Xavier, et encore merci !


Sarah pénétra dans la salle d’attente – étrangement vide pour un samedi – et prit place sur une chaise. Elle n’avait pas encore eu le temps de faire son choix parmi les revues et magazines qui s’entassaient sur une table basse (mais comment se fait-il que les médecins proposent à leurs patients de la lecture aussi débile ? Il n’y a jamais rien d’intéressant ; à croire qu’ils ramassent dans les poubelles la littérature destinée aux vieilles rombières…) que la porte de communication avec le cabinet s’ouvrait sur un homme revêtu d’une blouse blanche.

— Mademoiselle, c’est à vous.

« Bien sûr que c’est à elle, puisque j’ai refusé tout autre rendez-vous. »

La jeune fille se leva et, précédant le médecin dont l’œil averti se posa sur la croupe de Sarah, pénétra dans le cabinet.

« Putain, il ne m’a pas menti, Xavier… Quel cul ! »

— Asseyez- vous, Mademoiselle. Alors, dites-moi ce qui vous amène.

— Eh bien, Docteur, je pense que tout est là-dedans.

Impressionnée par la prestance de cet homme dont elle ne pouvait définir l’âge bien que ses longs cheveux commençaient à grisonner, Sarah lui tendit l’enveloppe scellée que lui avait remise son gynécologue. Elle se tassa dans son fauteuil pendant que le médecin la décacheta, l’ouvrit et se mit à lire le feuillet qu’elle contenait. Le Dr de Feule eut du mal à déchiffrer l’écriture en pattes de mouches, presque illisible :

« Cher Ami,

Mademoiselle Sarah N. présente une dyspareunie d’intromission anale. Je n’ai cependant pas relevé de tension dans les ligaments utéro-sacrés infiltrés, ce qui écarte l’éventualité d’une endométriose.

Je te remercie de la prendre en charge. »

Le sexologue savait parfaitement que derrière ce jargon technique destiné à écarter la suspicion du Conseil de l’Ordre en cas de plainte se cachait la véritable raison de sa motivation, beaucoup plus triviale, qui aurait pu s’exprimer ainsi : « Fourre-lui un doigt (ou plusieurs) dans le cul. »

Le spécialiste fixa son regard sur Sarah. « Waow, quel regard ! » se dit-il. Il faut dire que les yeux en amande de l’adolescente, surmontés de longs cils, lui donnaient un regard de biche. Ses iris qui mêlaient le beige et le vert brillaient d’un éclat tout particulier. « Putain, qu’elle est belle, cette gamine ! » ne put-il s’empêcher de penser. C’est vrai que son visage aux traits réguliers était encadré de longs cheveux bruns, et des dents blanches absolument parfaites illuminaient le sourire un peu gêné qu’elle adressa au praticien.

Il savait de quoi il retournait, mais le sexologue pervers voulut asseoir son autorité sur la jeune fille en lui demandant :

— Alors, Mademoiselle, expliquez-moi cela en détail.

Un voile passa dans le regard de Sarah ; elle baissa la tête en rougissant, gênée par ce qu’elle devait avouer à cet homme dont émanait une autorité impressionnante.

— Eh bien, Docteur, c’est un sujet assez sensible et personnel ; je ne sais pas vraiment par où commencer...

— Sensible ? De quelle manière ? Soyez plus claire, Mademoiselle.

Elle hésita pendant quelques secondes puis se lança :

— Voilà, Docteur : je suis en couple avec un homme depuis maintenant quelques mois. Étant jeune et avide d’expériences, j’ai voulu essayer la sodomie. Malheureusement, mon petit ami ne peut rester bien longtemps en moi car j’ai extrêmement mal à chaque fois qu’il me pénètre.

— Cela vient-il de vous, ou bien de lui ? Aurait-il un sexe hors du commun ?

— Hum... Même si son sexe est assez imposant, je pense que cela vient de moi.

— Utilisez-vous, lors de ce type de rapport, un lubrifiant quelconque ? Et qu’appelez-vous « assez imposant » ?

— C’est très gênant, vous savez... Je n’ai pas l’habitude de parler de ma vie sexuelle.

— Mais vous êtes là pour ça, Mademoiselle ; et si vous ne me fournissez pas de précisions, je ne serai pas en mesure de vous aider.

Un regard sévère avait accompagné les paroles du médecin.

— Oui Docteur, je comprends...

— Si vous restez muette, autant arrêter là cette consultation.

— Non !

— Alors, répondez à mes questions !

— Pour répondre à votre première question, nous utilisons du lubrifiant, mais ça n’apaise pas mes douleurs.

— C’est quoi, pour vous, un sexe « assez imposant » ? Une bite de 25 centimètres ?

Le médecin avait volontairement utilisé ce terme trivial pour la mettre mal à l’aise.

— Euh, je suis obligée de répondre à cette question, Docteur ?

— Si vous n’y répondez pas, autant prendre la porte immédiatement ; je n’ai pas que ça à faire, moi.

— Dans ce cas-là, Docteur, sachez que mon petit ami a un sexe supérieur à la moyenne ; 21 centimètres, je dirais.

— Mais le diamètre ? C’est ça qui est important.

— Eh bien, il est très large ; je ne saurais dire le diamètre exact, Monsieur...

Avec la tournure que prenaient les événements, le sexologue commençait à s’exciter. Derrière son bureau – hors de la vue de Sarah, pensait-il – une de ses mains appuyait sur la bosse qui déformait son pantalon, tentant vainement de maîtriser son érection. La jeune fille remarqua toutefois les mouvements qu’il essayait de rendre discrets. « Mais qu’est-ce qu’il fait, là, derrière son bureau ? Il se touche, ce gros pervers ? » À cette idée, une bouffée d’excitation l’envahit. « Eh bien, si c’est ce que je pense, je vais lui en donner pour son argent, à ce vieux satyre ! Je vais l’exciter encore plus en lui parlant de certains détails de ma vie sexuelle. Ça devrait lui plaire… »

— Si je sais qu’il est très large, Docteur, c’est parce que lorsque je le suce, j’ai souvent du mal à faire entrer son gros gland dans ma bouche.

— Le problème vient peut-être de là. Mais au moins, sait-il vous préparer avant de vous introduire ce gros morceau ? Et comment ? Avec la langue, les doigts ?

— Les doigts.

— Juste les doigts ?

Il devint grossier :

— Et il ne vous bouffe même pas le cul ?

— Docteur !

— Quoi, « Docteur » ? Je fais mon boulot, Mademoiselle ; j’ai presque 40 ans d’expérience derrière moi !

— Certes, mais je doute que votre langage soit très professionnel...

Conscient de s’être laissé emporter par l’excitation qui l’avait gagné tandis qu’il se frottait la bite, il essaya de se rattraper :

— Ce langage est mûrement choisi pour vous faire réagir, Mademoiselle : cela fait partie de cette thérapie.

— C’est vous le docteur... Vous devez savoir ce que vous faites.

— Oui, c’est bien ça ; il est temps que vous en preniez conscience, jeune fille ! C’est vous qui êtes venue me solliciter, et non pas l’inverse. Savez-vous qu’en ce moment je devrais déjà être en train de jouir (il appuya bien sur ce mot) de ma retraite ? Alors, vos petites simagrées de gamine, vous pouvez les garder pour vous !

— Oui, Docteur ; excusez-moi, je suis parfois un peu frivole... Vous savez, Docteur, j’aimerais beaucoup que mon petit copain me prépare à la sodomie avec sa langue, mais il ne semble pas intéressé. Pensez-vous que cela vienne de mon physique ?

Le médecin dévisagea la jeune fille qui lui faisait face.

— Votre visage est tout à fait avenant. Mais ce genre de rapport concerne une autre partie de votre anatomie. Pour ce faire, je vais devoir procéder à un examen. Déshabillez-vous, et allongez-vous sur cette table d’auscultation.

Sarah savait très bien que le médecin n’avait pas besoin de l’ausculter, mais elle était très excitée par la manière dont il lui parlait. « Mais si je me déshabille, s’alarma-t-elle, en voyant mon petit string tout mouillé, il va comprendre à quel point je suis excitée… Il va me prendre pour une cochonne ! »

— Quoi ? Mais... mais j’ai déjà fait des examens !

— Oui, chez votre gynécologue, je sais. Mais je vais devoir vérifier par moi-même certaines choses...

Elle s’exécuta sans rien dire. Légèrement angoissée, mais surtout très excitée par la situation, elle enleva son chemisier noir en dentelle. Elle eut un regard provoquant à l’attention du médecin dont les yeux étaient à présent fixés sur son soutien-gorge bien rempli par des seins qui pigeonnaient. Sarah se retourna pour faire glisser en se déhanchant plus qu’il n’aurait fallu sa jupe moulante noire jusqu’à ses pieds. « Je suis sûre qu’il admire mon cul, ce vieux salaud… »

Elle ne se trompait pas, la coquine ! Extasié devant cette croupe qui s’évasait sous une taille de guêpe qui en accentuait la courbure, le médecin n’en pouvait plus… Cela faisait longtemps qu’il attendait cette partie cruciale ; son excitation montait de plus en plus en regardant sa patiente enlever ses vêtements comme s’il s’était agi d’un strip-tease langoureux ; des élans douloureux parcouraient sa verge tendue à l’extrême. « Ah, quel cul ! Mais quel cul ! »

Lorsqu’elle se retourna pour faire face au sexologue, elle s’immobilisa un instant de profil pour qu’il ait le temps d’apprécier la cambrure exagérée de ses reins. Elle termina sa rotation sur elle-même et lui apparut en sous-vêtements coordonnés de dentelle noire ; ses jambes étaient gainées de bas autofixants gris fumée.

Le médecin devint de plus en plus directif, et c’est sur un ton autoritaire destiné à masquer son trouble qu’il lui ordonna :

— Lorsque je vous demande de vous déshabiller, cela veut dire complètement. Enlevez tout !

— Je ne pense pas que ce soit nécessaire, Docteur... Mon gynécologue ne m’avait pas demandé de tout enlever...

Dans la tête de la fausse ingénue, les émotions se bousculaient. « Pourvu qu’il n’insiste pas… Plus il me parle comme ça, plus il m’excite… Putain, Sarah, ressaisis-toi ! »

— Mademoiselle, je dois vérifier certains points de votre anatomie ; c’est primordial. Si vous ne vous conformez pas à mes directives, vous n’aurez qu’à consulter un de mes confrères.

— Euh... Oui, Docteur.

— Allez, Mademoiselle, plus vite ! J’ai d’autres rendez-vous que vous allez retarder. Vous êtes bien pudique... Moi, des paires de fesses, j’en vois tous les jours !

« Des paires de fesses, oui, mais pas comme les tiennes, petite cochonne... Là, c’est du tout premier choix ; ça me change de mes clientes ménopausées ! »

Sarah, entre ses dents, grommela quelque chose comme « Oui, oui, ça arrive. Pas la peine de t’exciter… » Mais excitée, elle l’était aussi. « Si tu ne te calmes pas, ton string va finir par lâcher ! » Elle enleva délicatement ses bas en les faisant rouler sur ses longues cuisses fuselées et ses mollets délicieusement galbés, puis les jeta sur les vêtements qu’elle avait disposés sur une chaise ; son soutien-gorge suivit le même chemin quelques secondes plus tard. Enfin elle s’assit sur la table d’auscultation, fit glisser son string jusqu’à ses chevilles et l’envoya valser d’un coup de pied gracieux jusque sur la pile de vêtements.

Elle offrait à présent son corps totalement dénudé aux regards concupiscents du médecin, qui remarqua et apprécia le pubis totalement épilé et les petites lèvres bien développées qui émergeaient de la fente vulvaire.

— Allongez-vous, Mademoiselle.

Elle s’allongea sur le dos.

— Pas comme ça : à plat-ventre !

— Oh, excusez-moi.

— Voilà, très bien. À présent, cambrez votre bassin vers l’arrière pour bien faire ressortir votre c... (submergé par une vague d’excitation, il avait failli dire « cul » mais il se contrôla, et après une brève hésitation il reprit) … votre fessier. Oui, comme ça.

Le sexologue était sidéré par cette croupe sublime qui s’offrait à ses yeux. La peau café au lait présentait un grain extrêmement fin, et une faible marque à l’emplacement du string indiquait que l’adolescente ne pratiquait pas le bronzage intégral ; mais comme Sarah était naturellement bronzée, la différence était infime.

Il avait discrètement fait glisser le zip de sa braguette pour donner de l’espace à sa verge bandée ; elle était cependant masquée par sa blouse blanche que l’érection déformait. Il se demanda si Sarah avait remarqué son geste.

Allongée sur le ventre, complètement nue, ne pouvant plus canaliser son excitation, elle ne désirait qu’une seule chose : offrir à ce médecin pervers une vue imprenable sur son corps. Elle se cambra encore plus afin de se montrer sous son plus bel aspect et tourna légèrement la tête pour voir la réaction du praticien. « Oh, mon Dieu… Tu as bien réussi ton coup, ma fille : il bande comme un cheval ! »

— Je vais devoir pratiquer un toucher rectal, Mademoiselle ; ne vous inquiétez pas, ce n’est pas douloureux.

En disant cela, il avait enfilé un gant en latex et étalé une noisette de lubrifiant sur son index. Il l’approcha du petit cratère situé entre les deux hémisphères de ces fesses rebondies et bronzées qui semblaient le narguer, et commença à enduire le pourtour du petit œilleton plissé. Un léger soupir sortit de la bouche de Sarah. « Pourvu qu’il ne m’ait pas entendue… »

Le sexologue se mit à masser le petit muscle froncé, faisant pénétrer peu à peu la pointe de son index dans la corolle qui s’ouvrait sous la caresse habile ; en effet, il s’agissait plus d’une caresse que d’un acte strictement médical. Lorsqu’il inséra son index, la respiration de Sarah s’accéléra : il lui était impossible de gérer ces sensations nouvelles pour elle.

— Docteur ?

— Oui, Mademoiselle ? C’est douloureux ? Désirez-vous que j’arrête mon examen ?

— Non, non, surtout pas... Je tenais juste à vous dire que vous êtes très délicat.

— C’est normal, après toutes ces années de pratique. Voyez-vous, je suis un spécialiste.

C’est volontairement qu’il avait prononcé ces paroles à double sens tout en faisant pénétrer son index de plus en plus profondément dans le fondement de la jeune fille. Il se mit à effectuer de délicats va-et-vient dans le rectum de Sarah, les accentuant insensiblement. Là, il était carrément en train de lui doigter le cul, à cette gourde qui ne s’apercevait de rien !

« C’est évident : ce toubib est aussi excité que moi, vu l’intérêt qu’il porte à mon cul ! » constata-t-elle.

— Tiens... On dirait quelque chose, là. Ce gant m’empêche de faire un diagnostic correct ; je vais l’enlever.

Ceci fait, il se badigeonna le doigt d’une bonne dose de lubrifiant et l’enfila progressivement – mais d’une seule poussée – le plus loin qu’il put dans le rectum de Sarah et se mit à effectuer des mouvements de rotation, comme s’il cherchait quelque chose de précis. La jeune fille ressentit une intense tension sexuelle ; son corps se mit à vibrer de plaisir.

— Oui, c’est bien ça : il y a quelque chose de particulier, à cet endroit-là. Pour m’en assurer, je vais devoir ajouter un doigt.

— C’est vous le docteur ; faites ce qui vous semble le mieux pour moi.

Le médecin ne put s’empêcher de prendre la balle au bond :

— Ce qu’il y a de mieux pour vous, Mademoiselle ? Mais comment donc...

Il introduisit délicatement son index et son majeur dans l’ouverture qui n’opposa aucune résistance et se mit à masser l’intérieur du conduit qui s’élargissait de plus en plus sous ses caresses profondes.

— Oui, voilà, c’est là !

Et c’est sans scrupule qu’il se mit à masser la zone G à travers la fine paroi séparant le rectum du vagin. L’effet ne se fit pas attendre : un filet de cyprine se mit à sourdre des petites lèvres violines et engorgées qui dépassaient à présent largement de la vulve de Sarah. Le liquide visqueux coulait sans retenue le long de sa cuisse...

— Hmmm… Ooooh, Docteur...

L’excitation était trop forte : Sarah ne pouvait plus se contenir et soupirait de plus en plus fort, se laissant doigter avec complaisance. Le corps dominé par le plaisir, elle se laissait branler par ce docteur âgé qu’elle ne connaissait que depuis quelques minutes, et elle trouvait cela délicieux !

La vue de cette vulve suintante rendit le praticien fou de désir. Perdant toute retenue, il retira ses doigts du rectum, les remplaça par son pouce, et sans vergogne les enfila dans le vagin détrempé de la jeune fille. Il se mit à exercer de douces pressions dans le ventre brûlant, utilisant sa main comme une tendre pince.

Ne pouvant résister plus longtemps, il avait sorti sa verge et se branlait maintenant ouvertement devant la croupe somptueuse de la jeune fille ; il n’avait qu’une crainte (ou peut-être était-ce ce qu’il espérait, il ne le savait pas lui-même…) : c’est qu’elle tourne la tête et le voie en train de s’astiquer le manche. Comment réagirait-elle ? Il continua néanmoins ses va-et-vient obscènes. Sentant le plaisir monter le long de ses reins, il s’apprêtait à se répandre sur ce cul admirable ; ce n’était plus qu’une question de secondes…

Sarah n’en pouvait plus de plaisir ; ce médecin la rendait folle : elle n’avait jamais pris autant de plaisir. La tentation était trop forte : il fallait qu’elle le regarde la doigter, elle avait besoin de poser son regard sur lui.

C’est lorsqu’elle se retourna qu’elle l’aperçut en train de se branler. C’était choquant, mais elle ne pouvait s’empêcher de regarder sa bite.

— Oh, mon Dieu ! Docteur !

— Je... je suis désolé, Mademoiselle ; c’est plus fort que moi, vous êtes tellement belle…Vous m’avez rendu fou d’excitation !

Elle planta son regard dans le sien. Il tenta maladroitement de se justifier :

— Je ne pouvais pas continuer sereinement cet examen sans évacuer ce trop-plein de désir qui me perturbait...

— Docteur, laissez-moi vous dire une chose...

Il craignit le pire : une dénonciation au Conseil de l’Ordre. Mais tout en continuant à le regarder avec insistance, elle lui avoua :

— Vos mains sont extraordinaires.

Confus, le médecin proposa :

— Bon, arrêtons-nous là. D’après ce que j’ai pu constater, tout va bien au niveau corporel. Je pense que vous faites un blocage qui vous empêche de vous libérer totalement ; cela provient certainement d’une éducation trop rigide ou d’interdits religieux. Ce qu’il vous faut, c’est un partenaire autoritaire devant lequel vous devez abdiquer toute forme de volonté propre. Vous avez besoin de l’autorité d’une personne qui assume la responsabilité de ses actes, et surtout des vôtres ; mais il me semble que votre partenaire habituel est pour l’instant incapable de remplir ce rôle.

Cela sembla plausible à Sarah. Elle attendit sa décision avec appréhension, mais également avec l’espoir de pouvoir bénéficier une nouvelle fois des caresses savantes de l’habile médecin. Elle était frustrée qu’il ne l’ait pas amenée jusqu’à l’orgasme extraordinaire qu’elle sentait pourtant tout proche, et c’est pourquoi elle était bien décidée à ce que, dans un proche avenir, il la fasse défaillir d’une jouissance inconnue.

Il poursuivit :

— Je pourrais vous aider – à condition que vous le vouliez tous deux, lui et vous – en vous guidant sur cette voie ; je dispose de... d’instruments qui pourraient vous aider. Pensez-vous pouvoir convaincre votre ami d’accepter mon aide ?

— Euh, c’est délicat ; mon compagnon est du genre macho : il ne supporte pas que l’on mette en doute sa virilité ou son côté dominateur. Je ne sais pas si je pourrai le persuader, mais j’essaierai avec la plus grande volonté. Dans tous les cas, j’accepte votre aide avec grand plaisir...

— Pourtant, s’il désire pratiquer la sodomie avec vous, il lui faudra accepter mon aide. Vous me tiendrez au courant de sa décision. Bon, vous pouvez vous rhabiller, Mademoiselle ; je vous fais cadeau du montant de cette consultation.

Il se saisit de son string et ajouta :

— Ah oui, je vais devoir conserver votre sous-vêtement pour analyser vos sécrétions ; simple mesure de précaution.

— Alors prenez-le. J’espère que les analyses seront bonnes, Doc ! lui fit-elle avec un clin d’œil.

À peine Sarah s’était-elle rhabillée – la cyprine coulant encore le long de ses cuisses – et avait franchi la porte du cabinet qu’il se précipita sur le string détrempé, le huma profondément et se mit à lécher le petit triangle de dentelle imprégné d’une substance gluante et odorante. De son autre main, il n’eut que quelques allers-retours à faire sur son membre rouge pour envoyer de longs jets de sperme s’écraser sur le parquet.

La porte de l’appartement claque en se refermant.

— Mehdi, t’es là ?

— Ouais... Qu’est-ce qu’il y a ?

— Il faut que je te parle, mon cœur ; viens dans le salon.

— Attends un instant, j’ai pas encore fini...

Sarah le rejoint dans la chambre ; elle le trouve en train de s’astiquer le manche devant l’ordinateur dont l’écran affiche une scène de sodomie.

— Putain, Mehdi, t’abuses ! Je suis là, moi !

— Toi ? Mais t’es bonne à quoi, toi ? À rien ! Regarde, je suis obligé de me branler en regardant des femmes se faire prendre par le cul parce que j’ai jamais pu t’enculer, toi !

— Si tu m’écoutais un peu plus souvent au lieu d’aller sur tes sites de cul, tu saurais que je viens de chez un sexologue pour régler nos... problèmes.

— Quoi ? Nos problèmes ? Tes problèmes, oui : moi, j’en ai pas. C’est toi qu’en as, des problèmes avec ton cul où j’peux pas enfiler mon zob !

— D’accord, d’accord, c’est bon ! Bref, je suis allée chez le sexologue ; il veut nous voir ensemble. On a rendez-vous la semaine prochaine.

— Et qu’est-ce qu’il veut faire, ce bâtard ? T’élargir le cul ? Nique sa race !

Sarah s’approche de lui et, s’agenouillant, elle enlève la main de Mehdi pour la remplacer par la sienne sur la verge imposante. Pas excessivement longue – une vingtaine de centimètres – mais d’un diamètre assez important pour que sa petite main aux doigts effilés arrive tout juste à en faire le tour. Elle débute de doux va-et-vient le long de ce sexe surmonté d’un impressionnant gland circoncis qui le fait paraître encore plus volumineux, puis d’un coup d’un seul elle s’arrête et se redresse pour lui répondre :

— Il veut t’aider à me sodomiser, pauvre con !

Elle s’incline à nouveau et fait glisser sa langue sur la verge de Mehdi.

— Ah, il veut m’apprendre à enculer une meuf, ce bouffon ?

Sarah continue à sucer Mehdi ; excitée par la grosse bite qu’elle a dans la bouche, elle ne l’écoute plus.

— Allez, pompe-moi la queue pendant que je regarde comment les vrais mecs s’occupent des pouffes !

Les va-et-vient le long du membre deviennent de plus en plus rapides. Même si elle ne le montre pas, Sarah apprécie le côté macho de Mehdi durant leurs ébats ; tenant la hampe, elle s’active sur le gros gland qui lui distend la bouche. L’éphèbe bronzé sent que sa jouissance n’est plus qu’une affaire de secondes ; déjà quelques gouttes salées viennent perler sur la langue de Sarah. C’est alors qu’elle arrête sa fellation et regarde Mehdi droit dans les yeux en déclarant :

— Viens avec moi la semaine prochaine, Mehdi.

— Bon, OK, mais suce-moi à fond, alors...

Avec un petit sourire en coin en signe de réussite, elle reprend le pénis en main et le lubrifie de salive ; ses caresses augmentent d’intensité. Tandis que dans la fine main la grosse bite tressaute, Sarah fait tournoyer sa langue autour du gros gland qui gonfle encore plus en prenant une teinte violacée… L’excitation de Mehdi est telle qu’il ne peut se retenir de lâcher quelques soupirs. Le jeune Arabe attrape alors la tête de sa copine, fait glisser son membre imposant de plus en plus rapidement entre les lèvres de l’étudiante puis, lui maintenant la nuque afin qu’elle ne puisse reculer, lui enfonce son gros gland tout au fond de la bouche et déverse plusieurs jets de semence gluante directement dans la gorge de Sarah qui s’étouffe sous l’abondance de l’éjaculation tandis qu’il rugit de plaisir.

Enfin apaisé, il se détend et donne une tape amicale sur la joue de la jeune fille qui continue à déglutir. Toujours à genoux, elle avale les dernières gouttes qui lui tapissent l’intérieur de la bouche avant de déclarer :

— Je ne peux pas être bonne à rien puisque je suce ta queue ! Bon j’appelle le docteur pour confirmer le rendez-vous.

— OK, appelle-le, ton toubib de la putain de sa race ! Mais tu vas me pomper le nœud tous les jours jusqu’à ton putain de rendez-vous. Compris ?

— Oui, mon cœur, merci ! dit-elle avant de l’embrasser.


— Allô, Xavier ? Dis, j’ai un service à te demander. Tu sais, la petite Sarah que tu m’as adressée, celle qui a des problèmes d’intromission anale, tu t’en souviens ?

— Bien sûr, Serge ; un cul comme le sien, c’est difficile à oublier… Alors, tu te l’es faite, vieux saligaud ?

— Non, pas vraiment, mais je dois la revoir en consultation. Comme tu le sais, je viens de prendre ma retraite, et je n’ai plus de cabinet. Tu pourrais me prêter le tien pour que je la reçoive ?

— Eh bien, ça risque d’être difficile : mon carnet de rendez-vous est plein à craquer ; mais si tu peux attendre jusqu’à samedi, dans huit jours, je peux te trouver un créneau vu que je ne reçois pas le week-end.

— Super, Xavier ! Disons à partir de quinze heures ?

— OK, va pour quinze heures. Mais j’ai besoin d’une contrepartie : je veux être présent.

— Ah, je te reconnais bien là, mon salaud ! Mais si tu penses te la faire, tu vas être déçu : elle vient avec son mec.

— Merde ! Bon, viens une demi-heure avant ton rendez-vous ; on trouvera bien le moyen d’improviser un plan.

— OK, vieille canaille ; à plus.

— Ciao, toubib de mes deux !

Bon, ça se présentait pas trop mal. Le sexologue composa le numéro de la jeune étudiante.

— Mademoiselle, c’est encore le docteur de Feule à l’appareil ; je vous rappelle pour votre rendez-vous. Comme vous le savez, je viens céder mon cabinet à un jeune confrère ; de ce fait, je vous recevrai chez votre gynécologue, samedi en huit à quinze heures. Comme convenu, vous serez accompagnée de votre ami, c’est bien ça ?

— Oui, Docteur : Mehdi sera là, j’ai réussi à le convaincre. Merci d’avoir rappelé.

— Bien. Alors à samedi prochain, Mademoiselle.

— C’est ça ; à samedi, Docteur. Au revoir, Docteur.

Le samedi suivant, le sexologue arrive à l’heure prévue au cabinet de son confrère.

— Salut, Serge ; entre et installe-toi.

— Bonjour, Xavier ; alors, tu as réfléchi à un plan ?

— Ben, j’ai pensé que je pourrais me dissimuler dans la pièce attenante pour mater ; et suivant ce qui se passera, je pourrais intervenir si tu me fais signe…

— Je ne sais pas si c’est une bonne idée ; vois-tu, il me semble que nous aurions plus d’ascendant sur ce jeune couple si nous agissions à deux dès le départ. N’oublie pas que l’ami de notre patiente est du genre macho ; ils se laisseront plus facilement convaincre si nous sommes deux : pour ces jeunes, nous représentons l’autorité que nous confère notre âge et nos diplômes. Et fais comme moi : passe une blouse blanche ; ça les impressionnera plus que si tu les reçois en jeans.

— Tu as raison, Serge. Alors je te laisse débuter la consultation, et je t’assisterai. Bon, il nous reste un quart d’heure avant le rendez-vous. Je te sers un cognac ? J’ai réussi à me procurer du Hennessy Paradis Impérial plus que centenaire ; une pure merveille ! Heureusement, parce qu’à trois mille euros la carafe…

— Volontiers. Tu as dû en ausculter, des chattes, pour te payer ça !

Xavier sort religieusement d’une armoire un magnifique flacon qui est déjà une œuvre d’art par lui-même et en verse quelques centilitres dans des verres à cognac en cristal. Les deux médecins s’absorbent dans la contemplation du liquide mordoré qu’ils réchauffent entre leurs doigts pour qu’il atteigne une température idoine, humant de temps en temps le précieux élixir et s’extasiant sur les délicates senteurs qui s’en exhalent, puis ils portent les fins récipients à leurs lèvres.

— Putain, que c’est bon… Moi qui suis athée, je me croirais au paradis ! Il porte bien son nom, ce cognac.

— Je te l’accorde : c’est un vrai chef d’œuvre !

Ils devisent de choses et d’autres pendant quelques minutes, mais la sonnette retentit et ils entendent des pas dans la salle d’attente.

— Les voilà ; ils ont dix minutes d’avance… chuchote Xavier.

— Pas grave. Laissons-les poireauter, ça les mettra en état d’infériorité. En attendant, terminons ce breuvage divin : je m’en voudrais d’en laisser ne serait-ce qu’une goutte au fond de mon verre !

Et ils se calent dans les confortables fauteuils pour déguster l’alcool ambré.

Dix minutes plus tard, le sexologue se lève, ouvre la porte de communication entre la salle d’attente et le cabinet et leur tend la main.

— Bonjour ; donnez-vous la peine d’entrer.

— Bonjour, Docteur, répondent simultanément deux voix dans lesquelles on perçoit de l’émotion.

— Asseyez-vous. Mademoiselle, vous connaissez mon confrère puisqu’il s’agit de votre gynécologue ; il va donc m’assister.

Puis, s’adressant à Xavier :

— Docteur, pouvez-vous me faire un rapide résumé de la situation, je vous prie ?

— Certes, mon cher confrère. Voilà : mademoiselle souffre d’intense dyspareunie à chaque tentative d’inculum a tergo. Mon examen n’a pas décelé d’endométriose, ce qui laisse supposer que l’origine de cette pathologie ne serait pas organique, mais plutôt psychologique ; c’est la raison pour laquelle je vous l’ai adressée.

— Merci, cher ami. Mademoiselle, il faut savoir que ces douleurs peuvent provenir de causes aussi différentes qu’une hygiène excessive de la zone uro-génitale, d’un sentiment de culpabilité pour tout ce qui touche à la sexualité, d’un manque de préparation avant l’intromission, voire même de conflits au sein du couple. Est-ce votre cas, Mademoiselle ?

La jolie Sarah, un peu gênée, réfléchit pendant quelques instants puis répond :

— Eh bien, Docteur, parmi toutes les causes que vous venez de citer, je n’en vois que deux : c’est vrai qu’il existe une sorte de conflit entre mon ami et moi, mais ça vient du fait qu’il lui est impossible de m’enc… de me sodomiser. Je pense que le problème vient surtout d’un manque de préparation.

— Intéressant… Comment vous-y prenez-vous, Monsieur, pour donner envie à votre partenaire lors des préliminaires ?

Mal à l’aise, Mehdi se tortille sur son fauteuil avant de répondre :

— Bah, comme d’habitude : je lui touche les nibards et je lui mets des doigts dans la chatte. C’est bien comme ça qu’il faut faire, non ?

La voix chargée de reproches, l’étudiante se tourne vers son copain :

— Il est là le problème, Mehdi : tu ne sais pas comment t’y prendre ! Tu pense que c’est comme ça qu’on s’occupe d’une femme, qu’on lui fait plaisir ? Dites-lui, Docteur !

— Eh bien, Monsieur, il me semble que vous êtes un peu trop direct avec Mademoiselle ; soyez un peu plus délicat, allez-y avec un peu plus de doigté.

— Ben quoi, la doigter, c’est bien ce que je fais, non ?

— Écoute, Mehdi, tu ne comprends décidément rien ; laisse le docteur te montrer.

Sarah n’en revient pas… elle ose faire des reproches à Mehdi ! C’est vrai que l’excitation est plus que palpable ; parler de sa sexualité devant trois hommes aurait été irréalisable il y a quelques jours encore.

Le sexologue reprend la parole :

— Vous semblez ne pas comprendre mes propos, Monsieur ; lorsque je dis qu’il faut du doigté, cela signifie qu’il faut être léger, subtil. Il ne s’agit pas d’enfoncer directement un doigt dans le vagin de cette demoiselle sans l’avoir préparée délicatement auparavant ; n’est-ce pas, Mademoiselle ?

— Tout à fait, Docteur. Malheureusement, je ne pense pas qu’il puisse comprendre si vous ne lui faites pas de démonstration

— Bien. Alors installez-vous sur la table d’examen, Mademoiselle, après avoir enlevé votre sous-vêtement et relevé votre jupe à hauteur de la taille.

Répondant à la demande du médecin, Sarah préfère enlever sa jupe complètement et se débarrasse des quelques grammes de dentelle noire de son string.

— Voilà... Maintenant, posez vos pieds dans les étriers.

Le sexologue s’approche, suivi de près par son confrère, très intéressé. Mehdi, resté assis sur le fauteuil, se tourne vers eux ; malheureusement pour lui, il ne peut voir que le dos des deux médecins.

Avec ces deux hommes à qui elle offre une vue imprenable sur son intimité, Sarah ne peut s’empêcher de ressentir un début d’excitation ; ses cuisses largement ouvertes laissent apercevoir ses petites lèvres gonflées d’où commencent à suinter quelques gouttes irisées.

Ayant volontairement omis d’enfiler un gant, le médecin approche un doigt et le passe délicatement à plusieurs reprises le long de la vulve qui s’ouvre sous cette caresse, puis il saisit les petites lèvres qu’il disjoint. Un filet de cyprine s’en écoule.

— Voyez par vous-même, mon cher confrère : cette jeune fille présente tous les signes d’un début d’excitation ; cette lubrification prouve qu’elle ne souffre pas de sécheresse vaginale.

Puis, s’adressant directement à Sarah :

— Alors, Mademoiselle, comment ressentez-vous ces attouchements ?

— Eh bien, Docteur, vous pouvez le constater par vous-même : vos effleurements me font un effet terrible, ce qui ne m’arrive jamais avec Mehdi.

— De ce côté-ci, tout semble fonctionner parfaitement, Mademoiselle. Mais vous étiez venue consulter pour un problème plus… comment dirais-je…

— Anal ? Oui, Docteur. Comme vous le savez déjà, Mehdi et moi ne pouvons pas avoir de rapports anaux ; c’est d’ailleurs une grande source de conflits entre nous, n’est-ce pas, Mehdi ?

— Ben oui, elle peut pas supporter que je l’encule.

— Monsieur, un peu de retenue, je vous prie ! Ici, on dit "sodomiser", ou bien encore "pratiquer le coït anal".

— Mehdi ! Sérieux, je suis pas ta pute ! C’est pas que je ne veux pas que tu me sodomises ; c’est que tu t’y prends mal. On n’est pas dans un porno ; et ça, tu as du mal à le comprendre. Je pense que tu as vraiment besoin de leçons...

— Hé, toi, arrête de m’énerver ! Les leçons, c’est aux hommes de les donner, et c’est moi l’homme ici, pas toi. Alors arrête de me gonfler !

— Toi, un homme ? Mais tu n’es même pas capable de faire plaisir à une femme ! Je ne vois que deux hommes dans cette pièce, et tu n’en fais pas partie. Si tu veux te taper des putes, alors va à la gare, t’auras du choix !

— Fais pas chier, pauvre conne !

— Jeune homme, je vous prie de ne pas proférer de grossièretés dans mon cabinet ; calmez-vous !

— Je t’emmerde, Mehdi ! Je ne sais même pas pourquoi on est là, ensemble. Nous deux, ça ne collera jamais. Et c’est pas qu’à cause d’un problème de sodomie : c’est à cause de ta connerie !

— Ma connerie, espèce de pouffe ? Elle te dit merde ! T’auras plus à la supporter : je me casse, et définitivement. Allez, fais-toi bien tripoter par ces deux pédés ; amuse-toi bien. Ciao !

Furieux, il se lève et part en claquant la porte.

Le calme revenu dans le cabinet médical, le Dr de Feule reprend :

— Alors, Mademoiselle, parlez-nous de vos problèmes de sodomie. L’avez-vous déjà pratiquée avec d’autres partenaires que ce grossier individu ?

— Non. Il a été mon premier, Docteur, répond-elle, un peu déconcertée par la dispute qui vient d’avoir lieu.

— Dans ce cas, il faudrait tester si vous êtes réceptive aux caresses anales. Voulez-vous bien vous mettre à plat-ventre pour que nous puissions procéder à un examen ?

— Oui, tout de suite, Docteur.

Cette demande fait retrouver à Sarah l’excitation qu’elle éprouvait au début de la séance. Très vite, elle se met à plat-ventre, impatiente de découvrir les douces caresses des deux médecins.

À la vue du joli petit cul rebondi qui s’offre à leurs regards lubriques, les deux complices échangent un sourire vicieux. Le sexologue pervers s’agenouille au pied de la table d’examen, se penche légèrement et, plaçant sa langue sur la vulve de la jeune fille, il la fait lentement remonter jusqu’au creux de ses reins, laissant sur la peau satinée de la jeune fille une trace humide d’un mélange de salive et de cyprine.

Ces quelques coups de langue permettent à Sarah de ressentir un réel plaisir, et elle ne peut s’empêcher de laisser s’échapper quelques soupirs.

— Humm, Docteur… c’est très agréable, ce que vous me faites.

— Je vous rassure, Mademoiselle : vous êtes très réceptive de ce côté-là aussi. Voyons jusqu’où ces stimulations peuvent vous mener…

Il reprend ses caresses, léchant les deux fissures, faisant pénétrer la pointe de sa langue à l’entrée du vagin de Sarah tout en massant délicatement le petit cratère de son anus, puis il remplace son doigt par sa langue habile qui tourne autour de l’entrée interdite qui commence à s’entrouvrir sous la délicate caresse.

La belle étudiante est très réceptive ; grâce à cet homme, elle découvre des émotions et des sensations encore inconnues. Ces caresses la mettent dans un état second.

— Docteur, si je peux me permettre... Vous excellez dans ce domaine.

— Pourquoi dites-vous que j’excelle, Mademoiselle ? Que ressentez-vous ?

— Eh bien, Docteur, j’éprouve de l’excitation ; une excitation très intense.

— Assez intense pour vous amener à l’orgasme ? Dois-je continuer ?

— Aimeriez-vous continuer, Docteur ?

— D’un strict point de vue professionnel, oui : il serait intéressant – pour le bien de la science, cela va sans dire – de déterminer si certaines caresses peuvent provoquer un orgasme anal. Maintenant, tout à fait personnellement, je dois vous avouer que, oui, j’aimerais continuer car vous m’excitez beaucoup, Mademoiselle. D’ailleurs, il me semble que je ne suis pas le seul à l’être, d’après ce que je peux voir : mon confrère présente une émotion... palpable. Alors, on continue ?

— En prenant en considération toutes vos indications, je pense qu’il serait judicieux pour vous, pour moi, pour votre confrère et sans oublier pour le bien de la science… de continuer la séance, répond-elle d’une voix rendue rauque par le désir qui l’envahit.

Voir le pantalon de son gynécologue déformé par une grosseur conséquente augmente encore son excitation, et c’est tout naturellement que la belle Sarah darde un regard provocateur sur l’autre médecin en cambrant ses fesses comme pour l’inciter à les rejoindre. Succombant à ce regard de braise, Xavier s’approche et se place le long de la table d’auscultation, à proximité de la main droite de l’étudiante, tout en laissant son regard errer sur la croupe attirante de la jeune fille.

— Docteur ? Je vous en prie, allez-y… dit-elle avec un sourire espiègle.

— Docteur ? Je vous en prie, allez-y… dit-elle avec un sourire espiègle.

Serge de Feule ne se fait pas prier ! Après avoir introduit délicatement l’extrémité de son index à l’entrée du vagin de la belle pour le lubrifier, il remonte de quelques centimètres pour aller titiller les bords de la rondelle frémissante ; il l’enduit ainsi à plusieurs reprises puis, estimant le moment venu, il plonge avec douceur sa première phalange dans le sphincter et entreprend de délicats mouvements circulaires à l’intérieur du rectum de l’étudiante qui ne peut retenir quelques soupirs.

— Humm… Huuuuum…

Afin d’accentuer son plaisir, elle se met à onduler lascivement du bassin. Ses soupirs de plus en plus sensuels indiquent au sexologue qu’il est sur la bonne voie ; il fait pénétrer son index fureteur jusqu’à la deuxième phalange tout en continuant ses mouvements circulaires. Sarah est au bord de l’orgasme, mais elle en veut encore plus ; elle lance un regard voluptueux aux deux hommes pour leur faire comprendre sa folle envie de sexe.

Alors qu’elle tente tant bien que mal de contenir son orgasme afin de profiter le plus longtemps possible de cette situation troublante, sa petite main se dirige vers la braguette de Xavier, son gynécologue, et se plaque sur son pantalon pour se refermer sur le gourdin et le serrer convulsivement.

Avisant l’état d’excitation de sa patiente, le docteur de Feule en profite pour introduire un deuxième, puis un troisième doigt dans la corolle frémissante. À présent, il malaxe avec de plus en plus de vigueur l’intérieur de la jeune fille qui, haletante, est sur le point d’exploser. Elle le supplie avec des mots qu’elle pensait ne jamais pouvoir prononcer :

— Docteur, enculez-moi… Je vous en prie, ne me laissez pas comme ça… Enculez-moi, maintenant ! Je vous veux dans mon cul !

Le médecin fait glisser son pantalon et son boxer jusqu’à ses pieds, dévoilant une verge aristocratique, longue et fine, parfaite pour la sodomie. Se plaçant entre les cuisses largement ouvertes de l’étudiante, il applique son gland effilé sur l’ouverture étoilée et le fait pénétrer sans la moindre difficulté. Ne pouvant plus retenir son orgasme, Sarah accentue sa cambrure afin que le docteur puisse lui investir plus profondément le cul.

— Docteur, prenez-moi… Continuez... Oui…

Le gynécologue n’en peut plus de jouer les spectateurs ; il se place face à la jeune fille, extirpe un membre congestionné de son pantalon et l’insère dans la bouche de l’étudiante afin pouvoir, lui aussi, participer à ce déchaînement des sens, à ces explosions de libidos.

Le sexologue poursuit lentement, sans à-coup, l’intromission de sa longue pine dans le fondement de l’adolescente jusqu’à arriver en butée contre ses fesses magnifiques. Courbé au-dessus du dos de Sarah, il voit sa tête aller et venir le long du membre de son confrère ; cette vision l’excite encore plus, et il se met à glisser lentement dans l’étroit boyau de la jeune fille qui explose immédiatement dans un premier orgasme. Une vague de chaleur prend possession de son corps pendant qu’elle gémit tout en suçant ardemment la grosse bite du gynécologue pour les remercier, lui et le docteur de Feule, de l’avoir libérée de ses inhibitions.

— Xavier, viens bouffer la chatte de cette petite cochonne pendant que je lui défonce le cul ! Sarah, soulève-toi et laisse-le se glisser sous toi.

La belle s’exécute et laisse le médecin se glisser sous son corps ; elle profite de cette position de 69 pour reprendre en bouche le mandrin du gynécologue. À présent que la langue de son confrère s’est emparée de la vulve ruisselante de l’étudiante, le sexologue pervers se remet à coulisser régulièrement dans le cul de l’adolescente, puis accélère sa cadence. Parfois, il laisse juste son gland à l’intérieur du rectum, immobile, étranglé par le sphincter qui l’enserre, puis il pénètre d’un trait au plus profond des entrailles de Sarah pour y appliquer de petits coups secs et répétés.

— Hummm… Messieurs…

Les va-et-vient du sexologue et les coups de langue assidus du gynécologue accélèrent l’arrivée du second orgasme de Sarah qui ne tarde pas à exploser sous les coups qui la traversent tandis que des cris de plaisir s’échappent de sa bouche.

Ces cris excitent l’enculeur. Sentant sa jouissance monter inexorablement, il s’immobilise tout au fond du rectum qui l’enserre délicieusement puis, faisant coulisser lentement sa verge sur quelques centimètres seulement pour bien apprécier la douceur de la gaine qui presse son gland gonflé par le plaisir, il se déverse à longs jets dans ce cul accueillant en poussant un hurlement libérateur.

Il reste un moment dans ces entrailles soyeuses, puis se retire.

— À toi, Xavier. Maintenant que le chemin est préparé, tu lui feras moins mal avec ta grosse bite.

Le gynécologue se retire à regret de la bouche de Sarah, se redresse et vient prendre la place libérée par son confrère ; et même si son membre est d’une taille impressionnante, il l’introduit sans coup férir entre les fesses de la jeune fille qui accueille l’imposante verge avec un gémissement entre douleur et plaisir.

Quelque peu fatiguée mais toujours excitée, Sarah est transpercée par l’imposant membre. Bien qu’elle y ait goûté peu de temps auparavant, le recevoir dans son petit cul n’est pas une partie de plaisir ; du moins au début, car très vite la douleur laisse place au plaisir tandis que le gynécologue entreprend une étude en profondeur des fesses de la jeune fille. Déjà prêt à jouir dans la bouche de Sarah lorsqu’il s’en était retiré, Xavier n’a que quelques va-et-vient à effectuer dans l’étroit conduit pour éjaculer longuement en gémissant, mais ces quelques mouvements permettent à l’adolescente de connaître un troisième orgasme.

— Docteur… Hum, Docteur... Oui... Aaaah !

Pour Sarah, ce troisième orgasme est sans le moindre doute le plus puissant de tous.

Chaque membre du trio ayant satisfait sa lubricité, le gynécologue invite l’étudiante à passer dans le cabinet de toilette attenant pour y procéder à des ablutions bienvenues. Pendant son absence, les deux compères se versent une rasade de ce fabuleux cognac et le dégustent tout en se congratulant pour ce moment de débauche. Sarah, quant à elle, est toujours dans un état second. Elle ne se reconnaît pas : la jeune étudiante s’est transformée en une véritable dépravée du sexe... et elle en redemande encore !

Lorsqu’elle réapparaît dans le cabinet, elle trouve les deux médecins en train de deviser joyeusement. Serge de Feule l’invite à s’asseoir dans un fauteuil face à eux.

— Eh bien, Mademoiselle, l’examen est probant : vous n’êtes affectée d’aucun syndrome ; vos problèmes provenaient uniquement de votre ami qui ne sait pas s’y prendre avec les femmes. Toutefois, il serait utile de vous revoir régulièrement pour un suivi de vos capacités orgasmiques ; je vous propose donc de nous retrouver ici-même une fois par mois. Cela vous convient-il ?

Sarah s’interroge. Cette relation été exceptionnelle, mais un suivi régulier, où cela pourrait-il la mener ? Cependant, l’excitation qu’elle vient de connaître ne la fait pas réfléchir longtemps.

— Docteur, ces rendez-vous mensuels me semblent impératifs.

— On se retrouve dans un mois alors ?

— Avec grand plaisir.

— N’oubliez pas, Mademoiselle, qu’il faut prolonger le traitement pour qu’il reste efficace. Et son efficacité n’est plus à démontrer !

Avant de partir, sachant parfaitement l’usage que les deux médecins vont lui réserver, Sarah laisse tomber négligemment sur le seuil de la porte son string détrempé par l’excitation qui l’avait submergée en se rendant au cabinet médical, se doutant bien de ce qui allait se produire ; mais elle ne savait pas encore que ses attentes allaient être comblées bien au-delà de ses espérances les plus folles.

FIN

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